logo-les-echos-frTRIBUNE. Les Echos, le 07/04/2017. Le Cercle / Point de vue. Il n’y a pas de relation claire entre le niveau total des dépenses publiques et le bonheur moyen déclaré par les citoyens. Pour rendre les Français heureux, il faut améliorer la qualité des services publics. Par Mickaël Mangot, directeur général de l’IEB.

En matière de dépenses publiques, les candidats à la présidentielle ont des préconisations aux antipodes. Entre les 100 milliards d’euros d’économies au terme du quinquennat proposées par François Fillon et le méga-plan de relance de 273 milliards d’euros (dont 100 milliards pour un plan d’investissement) imaginé par Jean-Luc Mélenchon, le grand écart est manifeste.

Les candidats s’opposent sur le remède à apporter aux maux français (une croissance faible et un taux de chômage structurel élevé) à la manière des joutes entre économistes keynésiens et néoclassiques. Les premiers croient aux vertus de la relance quand les seconds la considèrent au mieux comme inutile.

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