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Réenchanter et optimiser les comportements économiques en leur donnant du sens

OPTIMISER les comportements économiques, c’est les rendre plus efficaces, c’est-à-dire produire plus et mieux sans consommer nécessairement davantage de ressources (les ressources naturelles, le temps, l’argent…).

REENCHANTER les comportements économiques, c’est les reconnecter avec leur mission première : favoriser le bonheur des différentes parties prenantes (producteurs et consommateurs, employeurs et employés…). Et par là leur (ré)insuffler de la joie.

Les deux objectifs sont-ils contradictoires ?

La recherche de la croissance et du profit s’oppose-t-elle nécessairement au bonheur ? A l’Institut de l’Economie du Bonheur, nous ne le pensons pas. L’économie repose depuis son origine sur un postulat moral : les transactions économiques améliorent le bien-être des deux parties de l’échange. Ainsi, plus on produit et on vend, plus on est censé générer du bonheur. Sous certaines hypothèses, cette croyance est vraie. L’activité économique, lorsqu’elle est réalisée selon certaines règles, augmente bien le bonheur collectif. A nous de comprendre, respecter et faire respecter ces règles.

Pourquoi est-il nécessaire de remettre de la joie dans les comportements économiques ?

Parce que la croissance est devenue triste; si les revenus continuent d’augmenter dans les pays développés, le bonheur moyen cesse, lui, de progresser. Parce que le travail aussi est devenu triste : la satisfaction au travail, cette activité qui accapare l’essentiel de notre temps éveillé, a drastiquement chuté sur les dernières décennies.

A qui s’adresse l’Institut de l’Economie du Bonheur ?

L’Institut de l’Economie du Bonheur se fixe comme mission principale d’aider les différents agents économiques (entreprises, banques, administrations et particuliers) à adopter des comportements qui soient à la fois plus efficaces économiquement ET davantage propices à l’amélioration du bonheur individuel et collectif.

Dans cette démarche, l’Institut ne laisse pas de côté les associations qui fournissent la preuve par l’exemple que les activités non marchandes, comme le don et le bénévolat, sont aussi des leviers très efficaces pour le bonheur.

L’Institut aspire également à aider les étudiants à repenser leurs comportements et à trouver des clefs pour leurs choix de carrière en proposant des cours et des conférences dans les universités, les écoles de commerce et les autres établissements d’enseignement secondaire et supérieur.

Enfin l’Institut assiste les journalistes sur tous les sujets qui touchent à l’économie du bonheur en répondant à leurs questions et en mettant à leur disposition son datacenter qui inclut plusieurs centaines d’études académiques.